« Non, on ne licenciera pas ! »

Hier, Philippe Durand et ses deux soeurs, actionnaires aussi d’Arc international, Jacques Parissaux, directeur général, et 4 autres directeurs rencontraient 140 maires de la région.

«DEPUIS que nous avons envoyé nos invitations les rumeurs courent bon train. Que vont-ils annoncer à nos élus le 16 juillet ? 1 000, 2 000, 5 000 licenciements… Pourquoi pas ! » Même s’il le tourne avec humour, Jacques Parissaux, qui lançait la rencontre, hier après-midi, était bien conscient que l’emploi futur à la Cristallerie est LA question qui inquiète tout le monde dans un périmètre qui dépasse largement l’Audomarois. Les calculs d’Arc international pour envoyer ses invitations, tablant sur le nombre de communes où habitent au moins cinq salariés de l’entreprise, misaient sur 200 communes environ.

Ratier crée une filiale en Pologne

Cela a été annoncé au Comité d’Entreprise qui a donné un avis défavorable

Ratier Poland, c’est le nom de la filiale que Ratier s’apprête à créer en Pologne. L’annonce en a été faite lors de la réunion mensuelle du comité d’entreprise, le 28 juin dernier. Un nouveau Comité d’Entreprise, pour obtenir son avis sur ce dossier, a été réuni par la direction le 4 juillet. La CGT, composante majoritaire du CE, s’est prononcé défavorablement sur la constitution de cette filiale. « Tout démontre que nous sommes loin d’une coopération industrielle, mais bien dans une logique purement financière dont la priorité est de dégager toujours plus de profits pour satisfaire les exigences de l’actionnaire » ont déclaré lors de cette réunion, les élus CGT. « Nous pourrions accepter un échange de coopération avec d’autres pays s’ils s’inscrivaient dans une logique industrielle et répondaient à des besoins sociaux, mais là nous sommes en présence d’une délocalisation qui n’a pour seul but que de faire baisser le coût de la main d’oeuvre » ajoutent-ils pour expliquer leur position.

L'avantage inédit du contrat jeunes

L’Etat pourra rembourser à l’entreprise plus qu’elle ne verse aux Urssaf.

Le contrat jeunes allégera les charges sociales patronales. Mais il financera aussi, dans certains cas, une petite partie du salaire net. L’Etat versera à l’employeur d’un jeune de moins de 22 ans privé du bac une somme forfaitaire de 225 euros par mois au niveau du Smic. Or il ne reste que 179,55 euros de charges à acquitter pour une entreprise nouvelle, et 208,91 euros pour une entreprise passée aux 35 heures avant le 30 juin 1999. Le débat entre baisse des charges et baisse de l’impôt sur le revenu, en 2003, va s’ouvrir à l’Assemblée dès la discussion sur le collectif budgétaire, affirme le rapporteur général du budget, Gilles Carrez.

source : www.latribune.fr

Feu vert au marché unique de l'automobile en Europe

La Commission veut faire baisser les prix des voitures et des réparations. Les constructeurs s’inquiètent du contrôle de leurs réseaux.

Vente et après-vente seront dissociées. Les concessionnaires pourront représenter des marques différentes et, à terme, multiplier les points de vente. Pour les constructeurs, la baisse des tarifs ne pourra se réaliser qu’au prix d’une harmonisation fiscale dans l’Union européenne. L’ensemble de ces nouvelles dispositions sera applicable à partir du 1er octobre 2002.

source : www.latribune.fr

Nice Jazz Festival 2002

Huit jours de saga musicale, où l’éclectisme est de mise, vous feront découvrir un vériTABLE arbre généalogique du jazz : des pères fondateurs à leurs héritiers les plus lointains et les plus turbulents, du limon primordial de l’ère mandingue jusqu’à l’ultime fusion du funk urbain.

Tous les soirs, de 19h à minuit, avec un changement de programme toutes les heures, trois scènes sur lesquelles se relaient les musiciens les plus prestigieux de la planète : les Arènes, la scène du Musée Matisse, les Jardins.
Vous trouverez aussi un restaurant créole, à l’image de ceux de La Nouvelle-Orléans, et des « cabanons » de dégustation réservés aux spécialités niçoises parsemés dans les champs d’oliviers.

Contrepartie financière pour la clause de non-concurrence

Opérant un revirement de jurisprudence, la chambre sociale de la Cour de cassation soumet dorénavant la licéité de la clause de non-concurrence à l?existence d?une contrepartie financière. Dans une série d?arrêts rendus le 10 juillet dernier, la Haute juridiction précise non seulement cette nouvelle exigence mais rassemble, dans un attendu de principe, l?ensemble des conditions de validité d?une telle clause.

Les salariés d'Euro-CRM attendent l'avis du tribunal

LES SALARIÉS d’Euro-CRM assurent être décidés à ne pas lâcher prise. Après plus de deux semaines de lutte, le tribunal administratif de Melun doit statuer, ce matin, sur leur procédure en référé. La rupture de contrat entre cette société de télémarketing du Kremlin-Bicêtre et le câblo-opérateur Noos, le 1 e r juillet, a plongé les deux cent seize employés dans une situation aussi ubuesque que dramatique : un emploi, mais pas de travail ; un employeur, mais pas de salaire ; le chômage de fait, sans en avoir le statut .

La taxe pour les prestations prévoyance

L’employeur ne dispose pas du recours contre son CE concernant la taxe pour les prestations prévoyance.

Dans une affaire soumise à la Cour de Cassation, la Caisse régionale d’assurance maladie avait réclamé à son comité d’entreprise le remboursement de la part, assise sur les contributions des organismes de représentation collective du personnel, de la taxe instituée à la charge de l’employeur et au profit du fonds de solidarité vieillesse.
Dans un arrêt du 11 juillet 2002, la Cour rappelle qu’il est instituée à la charge de l’employeur une taxe sur les contributions des employeurs et des organismes de représentation collective du personnel versée au profit des salariés pour le financement des prestations complémentaires de prévoyance. Dès lors il résulte de l’article L137-1 du Code de la sécurité sociale que l’employeur, qui a la charge de la taxe, ne dispose pas de recours contre son comité d’entreprise.

Nantes : Salon du Tourisme Neige et Soleil les 12 et 13 octobre 2002

Le Salon du Tourisme Neige et Soleil de Nantes, se déroulera les samedi 12 et dimanche 13 octobre prochains au Parc Expo de la Beaujoire. L’invité d’onneur sera le massif des Pyrénées. Au programme bien sûr la montagne, mais aussi la présence d’agences de voyages et TO : Nouvelles Frontières, Kuoni, Havas Voyages, Carré Evasion, Royal Tours…

A noter également un partenariat entre Vacances et la Safym, les organisateurs du salon. Le spécialiste de la location saisonnière sur Internet assurera la présidence d’un jury et decernera le prix du meilleur site internet parmi les exposants.

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