Aérien Corsair envisage de réduire ses effectifs

De 160 à 200 suppressions d’emplois seraient prévues chez Corsair, une filiale de Nouvelles Frontières, selon un syndicat de la compagnie aérienne française. De même source, ce plan de restructuration devrait être mis en oeuvre dans les prochains mois. Il devrait cependant être annoncé aujourd’hui même à l’occasion d’un comité d’entreprise extraordinaire qui doit se tenir au siège de l’entreprise à Rungis (Val-de-Marne).

Salaires de ses employés impayés : EAS bat-elle de l'aile ?

Les 180 employés de la société EAS, spécialisée dans la maintenance et l’entretien des avions, sont en grève, depuis hier matin. Les salaires n’ont pas été payés. Ils craignent que leur société soit en difficulté et que leurs emplois soient menacés. « Tiens, ce sont peut-être nos salaires qui passent…. !  » ont lancé hier ironiquement les salariés d’EAS en observant un camion blindé de la Brink’s Bank le long du rond-point de la Sardane, qui se dirigeait vers l’aéroport.

Des solutions pour chaque licenciée à SEMUR-EN-AUXOIS

La société Procovès industrie, filliale du groupe Wells Lamont, qui doit faire face à la concurrence très vive des importations de gants cuir en provenance d’Extrême-Orient, a été contrainte de réagir il y a quelques mois, en mettant en place une stratégie de redéploiement, nécessitant une restructuration de son atelier cuir, ainsi que le licenciement de 22 ouvrières, ayant pour la plupart, plus de vingt ans d’ancienneté.

Le dispensaire en péril à nouveau occupé

Pas de répit pour les patients du dispensaire de la Croix-Rouge à Bagnolet. Hier, ils ont à nouveau occupé le centre, tout l’après-midi, pour empêcher sa fermeture provisoire, prévue jusqu’au 18 août. Délogés hier soir vers 20 heures par la police, les usagers poursuivront leur mobilisation, soucieux de l’avenir du centre.

Semader : Les grévistes durcissent le mouvement

Depuis mercredi, une quarantaine d’employés de la Sémader ont arrêté le travail. Motif : la sanction prise par la direction à l’encontre de deux délégués de l’UIR-CFDT (Union interprofessionnelle de la Réunion) siégeant au dernier conseil d’administration serait contestable. Ce blâme résulterait du dépôt d’une motion critiquant les agissements de la direction.

Corvis-Algéty. Manifestation devant le tribunal de Guingamp

Hier matin, le tribunal de Guingamp a examiné la plainte déposée par la direction de Corvis-Algéty, à l’encontre des membres du comité d’entreprise.
Elle leur reproche de vouloir entraver la bonne marche de la réduction d’effectif, en demandant l’intervention d’un médiateur. La décision est mise en délibéré. Réponse aujourd’hui ou lundi.
Les salariés ont manifesté calmement devant le tribunal. Ils estiment Algéty victime de la politique de Corvis, qui a racheté la société française il y a deux ans, à une époque où, selon eux, elle gênait les Américains. Alors qu’aujourd’hui, elle ne semble plus les intéresser, avec son cours en bourse assez bas. Rappelons que le comité d’entreprise accepte des licenciements mais, dans une contre-proposition faite à la direction, elle propose des solutions pour les réduire autant que possible.
A leur sortie du tribunal, les dirigeants de Corvis ne se sont pas exprimés, et ne souhaitent d’ailleurs pas le faire pour le moment.

source : www.letelegramme.fr

L'avenir de l'entreprise Grès Occitan reste incertain

Les employés de Grès occitan s’interrogent toujours sur l’avenir de leur entreprise. Un repreneur-Ramada international-s’est manifesté en juin dernier. Depuis, cette société hollandaise semble avoir revu ses projets à la baisse. Le calendrier des investissements prévus pour moderniser le site de Saint-Benoît-de-Carmaux a été modifié. Le fabricant de carrelages, en redressement judiciaire depuis le 26 février, est suspendu à la prochaine audience du tribunal de commerce prévue le 6 août prochain. Plus gros employeur industriel du Carmausin, l’entreprise qui compte 105 salariés est en période d’observation jusqu’au 28 août.

Canal + n'abandonne pas Louveciennes

Les turbulences que rencontre le groupe Canal + ne devraient pas remettre en cause le projet de déménagement de la chaîne cryptée à Louveciennes. Le dossier, mineur au regard des problèmes que doit affronter le nouveau patron de Vivendi Universal, Jean-René Fourtou, n’a pas été abordé mardi en comité d’entreprise. Mais, selon Pierre Lequiller, le député de la quatrième circonscription, en relation étroite avec le patron de Vivendi Universal, « le dossier suit son cours ».

Pin It on Pinterest