Polémique après l'annonce par FO de « la suppression de trois mille postes »

Nous vous l’annoncions dès hier sur notre site : dans un communiqué, la fédération Force ouvrière de la chimie, diffusant des informations de Joël Dereumetz, délégué syndical central d’Arc International, annonçait que le groupe verrier « prévoyait la suppression de près de trois mille emplois d’ici à la fin de l’année ». Ce communiqué a entraîné un « démenti formel » de la direction et une levée de bouclier des autres syndicats.

Suite de l’article sur lavoixeco.com

La grande métamorphose de PSA est lancée

50 millions d’euros. C’est la somme que le site de la Janais va investir pour refondre totalement son outil de production. De quoi assurer son avenir.
« La question de la fermeture de l’usine ou de la délocalisation de sa production nous inquiétait toujours, assure Franck Mahy de la CFDT. Nous avons accueilli favorablement l’annonce de ce plan mais nous nous sommes cependant abstenus lors du comité d’entreprise. Il reste des interrogations sur la question de l’emploi. »
Suite de l’article sur rennes.maville.com

Marché du travail l'accord passé au crible

La signature est officielle depuis hier. Quatre confédérations syndicales (CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC) et trois organisations patronales (MEDEF, CGPME, UPA) ont fait leur l’accord interprofessionnel sur « la modernisation du marché du travail ». Gouvernement et patronat saluent l’arrivée d’un premier acte de flexisécurité à la française. Mais, à y regarder de près, ce sont les employeurs qui gagnent une nouvelle étape de flexibilisation du marché du travail.
Suite de l’article sur humanite.fr

Coup de force patronal contre les salariés

L’ancienne usine de Péchiney Électro-Métallurgie, devenue Thermo-Magnésium après le licenciement de la quasi-totalité du personnel de l’usine et son rachat par LBO il y a cinq ans, n’emploie plus aujourd’hui que 27 salariés.
Mais cela semble encore trop pour le président de la société : après avoir licencié plusieurs délégués syndicaux en décembre dernier, c’est maintenant 19 salariés qui ont reçu leur lettre de licenciement. Le prétexte : ces salariés auraient entamé une « grève illicite » en faisant grève pour protester contre le licenciement de leurs délégués.

Suite de l’article sur lutte-ouvriere-journal.org

REDÉFINIR LE LICENCIEMENT ÉCONOMIQUE

« Élargir la définition du licenciement économique ». Cette proposition du rapport Attali risque de relancer un débat récurrent. Le rapport suggère en effet d’étendre la liste des motifs invocables par l’entreprise pour justifier un licenciement économique à la nécessaire  » réorganisation de l’entreprise  » ou à l' » amélioration de la compétitivité « .
Suite de l’article sur patrimoinorama.com

Pin It on Pinterest