La famille Seznec veut saisir la Cour européenne des droits de l'homme

Contre toute attente, la Cour de cassation n’a pas annulé, jeudi 14 décembre, la condamnation de Guillaume Seznec en 1924 pour le meurtre de Pierre Quémeneur, un des dossiers criminels les plus célèbres du XXe siècle. La plus haute juridiction française, siégeant exceptionnellement comme Cour de révision, n’a pas suivi l’avis de l’avocat général Jean-Yves Launay, qui avait estimé, le 5 octobre, que le condamné avait été victime d’une machination policière.
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