Le plan social d'Aubade provoque un traumatisme dans la Vienne

On dirait une bande d’écolières à la veille de vacances scolaires. Surexcitées, dissipées, indociles. « Je ne les contrôle plus, reconnaît Jean-Paul Gabiel, 53 ans. Elles masquent comme elles peuvent leur angoisse de perdre leur job. » Lui, c’est le chef d’atelier de l’usine Aubade de La Trimouille (Vienne).
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Auteur de l’article : comitedentreprise.com