Le procureur de Paris a sans doute ouvert une boîte de pandore en ordonnant, mardi 13 juillet, une enquête préliminaire visant certaines opérations menées par le groupe Thales (ex-Thomson-CSF). Les investigations, confiées aux policiers de la division nationale des investigations financières (DNIF), pourraient en effet mettre au jour d’éventuelles pratiques délictueuses menées par le géant français de l’électronique et de la défense 10,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 60 000 employés dans le monde en marge de l’attribution de certains contrats.
La suite de l’article sur lemonde.fr