Le théâtre privé victime de son offre pléthorique

A Paris, l’augmentation du nombre d’établissements a désorienté le public et rendu plus difficile la survie de certains lieux

Le psychodrame a pris fin mercredi 2 février. Après deux mois de tirades définitives et de claquements de portes, le Syndicat des directeurs de théâtre privé, la Ville de Paris et l’Etat ont signé le budget 2005 du Fonds de soutien au théâtre privé. Ce système de mutualisation des risques, qui réunit les cinquante principales salles dites « non subventionnées » de la capitale, pourra donc distribuer les quelque 6,9 millions d’euros prévus pour soutenir les spectacles déficitaires. Le dispositif a été sauvé. Mais, à en croire tous les acteurs du dossier, le mal est profond.
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